Juridique
Crédit immobilier : le décret instaurant la domiciliation des revenus est annulé
Le dispositif permettant aux banques de conditionner l'octroi d'un crédit immobilier à la domiciliation des revenus a été annulé.
Quand une décision de préemption de la Safer n’est pas affichée en mairie
Lorsqu'elle n'a pas été affichée en mairie, une décision de préemption de la Safer n'est pas nulle. Mais dans ce cas, le délai de recours pour la contester ne court pas.
Prêt garanti par l’État : quelle option au bout d’un an ?
Un an après avoir obtenu un PGE, le chef d'entreprise doit choisir entre le remboursement immédiat, ou différé d'un an supplémentaire, du prêt et son amortissement sur plusieurs années.
Liquidation judiciaire : quand la cessation des paiements a été déclarée tardivement
Même s'il n'ignorait pas l'état de cessation des paiements dans lequel elle se trouvait, le dirigeant d'une société en liquidation judiciaire qui n'a pas déclaré la cessation des paiements dans le délai légal peut être considéré comme ayant commis une simple négligence qui l'exonère de sa responsabilité.
Location d’un logement en dispositif Pinel
Nous sommes propriétaires d'un logement neuf acquis sous le dispositif Pinel. Nous souhaiterions louer ce logement à notre fils, bientôt étudiant. Est-ce possible ?
Bail rural : gare au contenu d’un congé pour reprise !
Lorsqu'il exerce son droit de reprise, le propriétaire de terres agricoles louées à un exploitant doit mentionner expressément dans le congé le cadre, sociétaire ou individuel, dans lequel le repreneur envisage d'exploiter les terres objet de la reprise.
Mise à disposition d’un terrain agricole à une société par un associé propriétaire
Le propriétaire d'une parcelle agricole qui la met à disposition d'une société dont il est membre encourt le risque de devenir lié à cette dernière par un bail rural lorsqu'il cesse de participer à l'exploitation de cette parcelle au sein de la société.
Produits défectueux : quand la responsabilité du fabricant est engagée
Des produits chimiques qui, après avoir été utilisés pour le traitement d'un vin, ont provoqué son altération sont considérés comme défectueux quand bien même ce vin n'est pas nocif pour la santé. La responsabilité de leur fabricant peut donc être engagée à ce titre.